• Il aura fallu 11 ans à Karine avant de trouver son point G

    L’autre jour, je discutais sur Skype avec Karine (30 ans), une jeune femme qui m’a contacté par mail (comme Marie) car elle en avait marre de ne pas prendre son pied au lit. Pourtant, elle est super amoureuse. Son mec, son chouchou comme elle l’appelle, elle ne peut plus s’en passer. C’est la prunelle de ses yeux et vu comment elle en parle, je vois en elle une femme folle de son homme. Le souci dans cette jolie histoire, c’est qu’il y a un hic, et pas des moindres, à savoir leur sexualité !

    L’amour n’est pas toujours synonyme d’orgasmes

    Karine est en couple depuis 5 ans et pourtant, au pieu, jusqu’à pas si longtemps, c’était morose. Bref, elle avait du mal à faire de ce moment à deux un moment incroyable et mémorable. Pas de feu d’artifice sous la couette, on en était très loin. L’orgasme était tout simplement aux abonnés absents. Premier bon point, avec son mec, elle discutait de tout. Il était donc au courant de la situation. Deuxième bon point, son mec est quelqu’un de super attentif, doux, toujours partant pour faire de longs préliminaires, bref, un gars en or.

    Alors pourquoi étaient-ils tous les deux dans une impasse ? Du propre aveu de Karine, c’était un problème qui n’était pas récent. En discutant un peu avec elle, que ce soit avec un godemichet, ses doigts, peu importe, l’orgasme n’était pas au rendez-vous. Cela veut-il dire pour autant qu’elle ne ressentait aucun plaisir ? Non, elle n’a jamais été insensible à la pénétration vaginale mais elle voyait bien que ce n’était pas l’apothéose, l’extase. On était loin du « il ne se passe rien » ou de l’encéphalogramme plat mais on était aussi super loin du « je hurle de plaisir ».

    Pourquoi une femme ne jouit-elle pas ?

    Karine en était consciente : elle n’avait jamais atteint le septième ciel (même en solo)

    Alors, la question qui fâche et que j’ai dû lui poser : avait-elle déjà eu un orgasme en onze ans de vie sexuelle ? Elle avait en effet eu sa première relation sexuelle à 19 ans. Quand je parle d’orgasme, je parle d’un plaisir immense comme elle a pu le lire sur mon blog. Et bien la réponse est non ! Le plaisir peut être très subjectif mais un orgasme, cela marque le corps et l’esprit, surtout chez une femme d’ailleurs. Dès lors elle en était persuadée, elle n’avait jamais jouit de toute sa vie. C’était un non ferme et définitif qui ne laissait pas de place au doute.

    Et le clitoris dans tout ça ? Et oui, si l’orgasme vaginal est plus complexe à atteindre, l’orgasme clitoridien est plus accessible. En fait, elle l’utilisait très très peu pendant la relation sexuelle notamment parce-qu’il était très sensible même en le stimulant via le capuchon du clitoris. Cette hypersensibilité ne lui permettait donc pas d’avoir un orgasme clitoridien. Bref, elle était mal partie…

    Mais pourquoi était-elle restée dans cette situation pendant autant d’années ?

    Elle me l’a dit, elle comptait à chaque fois sur ses partenaires pour la faire jouir en se disant qu’elle avait très certainement besoin d’un déclic. Or ce déclic n’arrivait pas. Elle se disait, avec le suivant, ça ira certainement mieux. Et vous savez quoi ? Et bien non, cela n’allait pas mieux…

    À 30 piges, elle a bien compris qu’il était temps de se bouger les fesses afin d’identifier le souci surtout que son homme, elle l’aimait ! C’était le bon comme elle me disait. Et comme c’était le bon et que l’orgasme ne se produisait pas, elle voulait que cela change ! Comment devait-elle procéder ?

    100% des femmes anorgasmiques ne savent pas où se trouve le point G

    Alors quel était son problème justement, un problème qui touche 100% des femmes qui n’ont pas d’orgasmes ? Pour le savoir, il suffisait juste de lui poser la question suivante, une question de base mesdames : comment vous doigtez-vous et/ou comment utilisez-vous votre sextoy ? Il ne faut pas chercher plus loin. Et oui mesdames, il n’est ici même pas question de savoir si votre homme utilise son pénis de la bonne manière lors de la pénétration vaginale. Non, il faut déjà savoir si vous êtes dans la capacité de vous faire jouir avant même de demander à votre partenaire de le faire pour vous.

    Comme on dit, on est jamais mieux servi que par soi-même et en matière de sexualité féminine, c’est essentiel. Je le dis souvent mais si vous n’arrivez déjà pas à avoir un orgasme seule mesdames, pourquoi demander à votre homme de faire tout le boulot pour vous ?! Soyez logique ! Ne demandez pas à une tierce personne de faire ce que vous n’arrivez pas à faire toute seule. Je sais, je suis un peu rude mais je suis avant tout réaliste !

    Attention, parfois, c’est évidemment beaucoup plus profond que ça. Je vous en parle d’ailleurs dans ma méthode mais très souvent, la solution au problème est simple comme bonjour.

    La question importante : comment Karine se doigtait-elle ?

    Dès lors, sa réponse à ma question, quelle fût-elle ?

    La voici : « je me rentre deux doigts dans le vagin comme ça et puis je fais un mouvement de va-et-vient, le même mouvement qu’un pénis fait lors d’une relation sexuelle. » Sur Skype, elle a branché sa webcam afin de me montrer comment elle faisait avec ses doigts. En voyant ma tête, elle a vite compris qu’il y avait un problème.

    Peu claire, peu précise dans ses gestes, très approximative, elle était presque gênée de me montrer sa façon de faire. Pourquoi ? Tout simplement parce-qu’elle savait inconsciemment ou consciemment qu’elle s’y prenait mal. Comme j’ai pu lui dire, quand on se rend compte qu’on ne fait pas les choses de la bonne manière, c’est déjà un très bon début. C’est qu’on a conscience de ses erreurs et ça, c’est tout simplement super !

    Quand je lui ai demandé ce qu’elle faisait en solo pour réveiller son sexe, pour l’éveiller afin de le préparer à la masturbation, idem, c’était bien trop directe. Ce n’était donc pas étonnant que l’orgasme ne se produisait pas. J’avais donc mis le doigt sur le nœud du problème sexuel de Karine…

    Un problème sexuel = une solution

    Comme je lui ai dit, honnêtement, dans 80% des cas, ne pas avoir d’orgasme est juste dû à un manque de technique, de pratique et à une méconnaissance du corps féminin.

    En lui expliquant où était la partie la plus sensible de son vagin, son point G, le lendemain elle me recontactait pour me dire qu’elle avait eu un orgasme. Oui, oui, on a passé 10 minutes à localiser ce point G, pas plus. Vous imaginez, ces 10 petites minutes comparées à plusieurs années de galère sans orgasme ! Et oui, très souvent il ne faut pas grand chose…

    On peut se dire, surtout en tant qu’homme :

    • mais comment une femme a-t-elle pu passer 11 ans de sa vie sans prendre l’initiative de doigter chaque cm² de son vagin afin justement de mieux l’explorer et donc de mieux le connaitre ?
    • pourquoi n’a-t-elle pas essayé de se masturber de différentes manières jusqu’à trouver LA bonne technique ?
    • avec de la motivation et de la persévérance, à force de parcourir seule l’intérieur de son vagin, on doit forcément tomber sur le G-Spot, non ?

    Déjà, premier point, et ces dames seront d’accord avec moi, une femme ne résonne pas comme un homme. Beaucoup voient le sexe comme un moment de partage à deux. Dès lors, se faire du bien en solitaire n’est pas quelque chose de naturel comme cela l’est pour ces messieurs. Grosse erreur car c’est seule qu’on apprend le plus sur soi !

    Beaucoup, comme Karine, ne sont aussi pas assez curieuses. Elles s’enferment alors dans la routine du « je n’y arrive pas, on verra ça plus tard ».

    Pour beaucoup de femmes, c’est aussi une véritable crainte de s’explorer en solitaire. Elles sont alors seules face à un sexe plus difficile à appréhender car interne contrairement au pénis. On ne voit pas grand chose donc on ose moins.

    Et puis enfin, exciter un point G, ce n’est pas comme allumer ou éteindre une lumière, cela se travaille. Il n’apparait pas comme par magie…

    En même temps, si c’était aussi simple que ça messieurs, vous devriez déjà être le roi du squirting depuis belle lurette. Et pourtant, ce n’est pas le cas, pas vrai ? 😉

    Mais où je veux en venir ?

    La clé de l’orgasme féminin, c’est…

    Le sexe c’est comme le vélo…

    Comme je vous disais, on a dû passer une dizaine de minutes à parler de son point G mais pas que (cf ma formation pour en savoir plus).

    Une fois qu’elle a enfin su comment son sexe fonctionnait, tout s’est débloqué physiquement mais aussi mentalement tout simplement parce-qu’elle a su que oui elle avait un point G, qu’elle était tout à fait normale et que l’absence d’orgasme comme elle l’entendait était juste dû à un manque de savoir et de savoir-faire, très facile à combler au final.

    Quand on sait faire du vélo, on trouve ça super facile et on se demande même comment est-ce possible que certaines personnes n’y arrivent pas. Et bien, c’est une question d’équilibre. Cet équilibre, il s’acquiert avec du temps et un peu de pratique. C’est aussi une question de conseils car quand on nous explique et quand on nous montre comment cela marche, tout s’éclaire. Et bien c’est pareil pour la sexualité !

    Dans la semaine, confiante et consciente de son potentiel, Karine achetait ma méthode. Je ne vous raconte même pas les résultats qu’elle a obtenu avec mes techniques et ce juste après quelques jours de pratique. Elle est très vite devenue multi-orgasmique en solo et surtout avec son compagnon, un homme qui a enfin pu la faire jouir et la faire éjaculer à grosses gouttes. Pour Karine, la situation semblait inextricable et pourtant, il ne fallait pas grand chose pour que ces 11 années sans réel plaisir prennent un nouveau départ !

    Qu’est-ce que je veux vous démontrer avec le cas de Karine ?

    Que vous soyez un homme ou une femme, je veux que vous compreniez que Karine n’est pas un cas isolé. Beaucoup de femmes n’arrivent pas à jouir et beaucoup d’entre-elles baissent les bras alors que c’est juste une question de manque de connaissances.

    Dès lors peu importe que vous cherchiez ce point G depuis des lustres (idem pour l’éjaculation féminine, le deepspot etc.), ce n’est donc pas parce que vous n’êtes pas vaginale à un instant T que vous ne le serez jamais ! C’est une compétence à acquérir un peu comme on apprend à jouer du piano. Cela tombe bien, je suis là pour vous apprendre le solfège (la théorie) mais aussi la pratique (comment bien se doigter, comment masturber une femme et beaucoup d’autres choses encore).

    Il vaut mieux tard que jamais comme on dit ! Et puis si Karine et son homme ont réussi à se dépatouiller de ce cercle vicieux, j’ai envie de vous dire, pourquoi pas vous ?!

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