Le témoignage de Ludivine (33 ans) sur sa première éjaculation féminine
J’avais envie d’être le messager de l’expérience de Ludivine, une femme de 33 ans de l’est de la France. Je suis toujours sur le cul quand j’apprends ce que ressentent des primo-fontaines si je peux les appeler ainsi. C’est la première fois qu’elles éjaculent et c’est surtout la première fois qu’elles stimulent leur point G, tout du moins qu’elles le côtoient d’aussi près. Dès lors, quand on découvre et qu’on est confronté à des sensations aussi profondes (au sens propre comme au figuré), oui cela met dans tous ses états. Cela surprend et cela bouleverse, même les plus timides. C’est une nouvelle page de sa sexualité qu’on écrit et ça, ce n’est pas rien !
Je vais donc vous parler de cette demoiselle de 33 ans, en couple, qui a eu un déclic en décembre 2019, ce dernier la poussant à faire toujours plus de recherches sur ce sujet jusqu’au jour où elle a enfin pu faire la connaissance de son éjaculation, une rencontre paranormale en quelque sorte !
Son histoire vis-à-vis de l’éjaculation féminine
L’événement précurseur : le déclic de la fontaine de Ludivine
Toutes les histoires sont différentes et c’est toujours hyper intéressant de connaître celle d’une parfaite inconnue. Pourquoi ? Tout simplement parce-que cela pourrait parfaitement être la vôtre. Et oui, vous parler de Ludivine, qui n’a rien de plus que vous, c’est vous permettre de vous projeter à sa place.
Dès lors, qui est Ludivine ? Elle a 33 ans et elle nous vient de Bourgogne pour être précis. Elle est en couple et elle a une sexualité plutôt classique comme elle le définit. Pas d’anal, pas de double pénétration ou ce genre de choses. Question fréquence de leurs rapports, c’est du normal selon elle, 3 à 4 fois par semaine en gros.
Ludivine est jeune et son mec aussi (Paul, 35 ans) donc ce couple d’amoureux (ensemble depuis deux ans) sont en phase sexuellement. Pas de frustration dans leurs rapports sexuels, tout est au beau fixe j’ai envie de dire !
Dès lors, comment Ludivine en est venue à éjaculer ? En fait, cela s’est passé en plusieurs étapes. Comme moi, elle a aussi eu un déclic, un événement déclencheur qui lui a donné envie d’aller plus loin. Et bien, comme très souvent, c’est le pur hasard qui fait bien les choses comme on dit.
En fait, Ludivine ne se prive pas de se faire du bien quand son copain, commercial souvent sur les routes, n’est pas là. En décembre 2019, elle fait donc l’acquisition d’un Womanizer Liberty, un engin pas comme les autres. Et là, patatras, elle se met à mouiller comme jamais…
Une histoire qu’elle a débuté et vécu en couple
Surprise, elle se dit alors que la puissance de son nouveau jouet a engendré une lubrification plus forte que d’habitude, rien de plus. Or, cela se reproduit les fois suivantes en solo, ce qui n’arrive jamais (enfin pas à ce point là) avec Paul quand ils font l’amour. Elle se pose alors des questions mais elle garde ça pour elle. Un peu gênée par ce coté dégoulinant, elle sent pourtant que le plaisir est à son apogée, un plaisir accru par cette abondance de ce qu’elle pensait être de la « simple cyprine ».
Ne sachant pas trop comment en parler à Paul, un jour, elle décide d’utiliser ce fameux Womanizer avec lui durant les préliminaires. Et là, c’est encore plus fort. Elle mouille comme pas possible. La réaction de Paul ? Il trouve ça tout simplement incroyable. Dès lors, elle n’est plus toute seule à avoir des interrogations. Ils sont 2 à se poser des questions car ce liquide est synonyme de plaisir foudroyant.
Dès lors, comment ne pas être curieux, on les comprend. Avec le recul, ce n’était pas encore une vraie fontaine mais cela coulait à tel point que cela ne passait pas inaperçu comme cela peut l’être lorsque votre copine (ou vous mesdames) est très très excitée. Le sexe est ultra lubrifié, on le remarque mais cela ne va pas plus loin. Ici, le côté anormal de la situation fait que forcément, on se demande ce qui se passe.
Une recherche sur notre ami Google et ils tombent sur mon site (je sais, j’ai les chevilles qui enflent lol). Voilà comment tout a commencé. Vous remarquerez que partager son questionnement et ses doutes, il n’y a rien de tel pour avancer à deux sur le chemin de l’éjaculation féminine et de l’orgasme en général.
Ludivine aurait très bien pu garder ça pour elle mais non, la curiosité n’est donc pas un vilain défaut en matière de sexualité.
En tout cas, il ne faut pas combattre les réactions de votre corps face à telle ou telle stimulation. C’est même la réaction contraire qu’il faut avoir. Et oui, vous ne le savez peut-être pas mais beaucoup de femmes se forcent à ne pas éjaculer. J’y reviendrai dans ma formation sexuelle.
Dès lors, essayer de nouvelles choses comme de nouveaux sextoys, de nouvelles techniques sexuelles etc., cela permet d’activer de nouvelles zones érogènes encore inconnues.
En l’espèce, Ludivine a envoyé de lourdes vibrations via son clitoris vers son point G, deux zones interconnectées et ça, peu de gens le savent.
Bref, intriguée par ce liquide, ils sont donc partis tous les 2 à la découverte de ce nouveau plaisir qui allait leur tendre les bras !
Sa fontaine, une véritable rencontre du troisième type
J’ai eu la chance de faire jouir beaucoup de femmes et à chaque fois, leurs réactions me font vraiment halluciner. Ce qui me surprend encore plus, c’est ce que ressentent mes partenaires dans leur fort intérieur. Et oui, le fait d’éjaculer en tant que femme, c’est vécu dans 100% des cas comme quelque chose de complètement fou. Ce qui diffère d’une femme à une autre, c’est bien la façon de décrire cet instant magique. C’est là que je me dis que l’éjaculation féminine comparée à l’éjaculation masculine, c’est du très lourd car moi, je n’aurais jamais pu décrire ma première fois comme l’a fait Ludivine par exemple. On va le voir ensemble.
La première fois de Ludivine
Seule puis à deux
Comme je vous le disais, Ludivine et Paul ont pu puiser dans mes connaissances pour se lancer à la recherche de l’orgasme fontaine. Cela peut prendre plus ou moins de temps car le réveil du point G dépend de pas mal de facteurs propres à chaque femme. Chez Ludivine, cela fut plutôt rapide (3 jours de boulot seule soit 3 fois 30 minutes environ). Il faut dire que c’est une élève assidue. Et oui, elle a bien suivi « ma procédure » à savoir le rechercher en solitaire puis à deux.
Son petit ami a donc bien compris ma façon d’aborder l’éjaculation féminine et il a surtout bien saisi la portée d’un tel orgasme, une jouissance loin d’être anodine. Ludivine a donc jouit en solo avant d’expulser son liquide à deux. Cela lui a alors permis de montrer à son homme comment faire et ce avec un maximum d’efficacité. Paul a mis 2 minutes à comprendre comme utiliser ses doigts. 5 minutes plus tard, il faisait éjaculer une femme pour la première fois de sa vie.
Grâce à l’utilisation de mes techniques, notamment la technique du capitaine crochet et celle de Spiderman, Ludivine fut aux anges. Paul a d’ailleurs eu un petit coup de cœur pour la technique très originale de l’horloge.
Comme pour beaucoup de femmes, son point U lui en a aussi fait voir de toutes les couleurs. Je ne suis pas étonné de savoir qu’elle éjacule encore plus facilement grâce à mes techniques spéciales urètre comme la super technique de la toupie infernale, de la fessée ou encore de la tête chercheuse bis. 😉
À quoi sa première éjaculation a-t-elle ressemblé concrètement ?
Cela fut ruisselant. Et oui, Ludivine a tout d’abord eu des orgasmes de type ruisseau. Elle ne contrôlait d’ailleurs plus rien. C’était comme des contractions qui expulsaient son précieux liquide. Ses orgasmes étaient alors pulsants ! Sur le moment, elle fut bien contente d’avoir débuté sa formation seule car ce manque de contrôle lui fit légèrement peur. Cette sacro-sainte peur d’uriner, encore elle… Il y a toujours cette crainte vu que ce liquide passe par l’urètre donc par le canal d’où vient l’urine. Sachez une chose : ces messieurs n’ont pas cette peur alors que le sperme passe lui aussi par l’urètre. 😉 Bon, on comprend ces réticences mais c’est surtout une « question de lâcher prise ».
Et oui, ce lâcher prise, il est difficile pour beaucoup de femmes car ce n’est jamais facile de se laisser-aller sans savoir ce qui va se passer après. Le faire seule, cela change alors tout car on est en tête à tête avec soi-même sans le regard de l’autre, un regard pas toujours facile à gérer.
Dès lors, Ludivine a pu apprivoiser son éjaculation seule et la renforcer notamment grâce à ses muscles PC. Très vite, en moins d’une semaine, elle est passée d’une femme ayant une éjaculation de quelques millilitres à plusieurs dizaines et ce en contrôlant ses muscles pelviens. Cela demande un peu de travail mais c’est efficace.
C’est Paul qui fut agréablement surpris, je peux vous l’assurer ! Ludivine lui fit un cadeau, le cadeau d’être le premier homme à la faire éjaculer. Et il le prit comme tel.
Vous imaginez sa tête quand il a pu lui donner cet orgasme ?! J’aurais voulu être là. 😉 Il a lui aussi pris le temps d’apprivoiser son point G avec ses doigts puis avec son pénis, une aventure qu’ils ont vécu à deux et qu’ils vivent encore aujourd’hui ensemble. L’éjaculation féminine, cela rapproche et cela soude un couple !
A côté de l’aspect purement physiologique, à savoir à quoi a pu ressembler sa fontaine, il y a ce qui se passe à l’intérieur et là, pour Ludivine, ce fut complètement fou !
Une rencontre Ufologique (coquine) avec son éjaculat
Comment a-t-elle vécu sa fontaine ? C’est la question que je lui ai posé et elle va vous surprendre car ici, on va se concentrer sur ce qu’elle a vécu intérieurement.
Elle a en effet pu avoir deux types de sensations pour son premier squirting. Ce ne fut pas la même chose de jouir seule et en solitaire. Il y a donc eu 2 premières fois. Et oui, pour elle, le fait de laisser son homme masturber son point G pour la faire éjaculer, ce fut plus intense car elle était alors encore plus concentrée sur ses émotions et ses sensations vu qu’elle n’avait qu’à se laisser porter.
Dans tous les cas, elle ne pensait pas que cela allait autant la toucher. Dès lors, elle a fait une comparaison assez surprenante. Et oui, étant très attirée par le sujet UFO, c’est à dire tout ce qui se rapporte aux OVNI, elle a alors pu se référer à la classification de l’astronome J. Allen Hynek sur les rencontres extraterrestres. Elle a donc fait de son éjaculation féminine une rencontre extraterrestre. 😉
Sa première fois en solo
Éjaculer seule, elle l’a alors défini comme une rencontre rapprochée du 3ème type (RR3), l’observation que tous les amateurs de civilisations exogènes aimeraient faire à savoir le fait de voir un engin venu d’une autre planète/galaxie mais surtout ses occupants. Bref, c’est la rencontre d’une vie si je peux m’exprimer ainsi.
Peu de gens ont ce privilège et quand cela arrive, on n’y croit pas ses yeux. Et pourtant, c’est bien réel. Bon, contrairement aux OVNI, comme elle a pu me dire, il y a une preuve bien tangible du squirt, un liquide qui trempe ses serviettes de bain à chaque coup.
Quand elle est obligée de faire une machine à laver, cela ne tient pas de l’hallucination collective ! Elle n’a pas tort ! C’est bien qu’elle ait pu faire cette comparaison car Ludivine m’a avoué qu’elle a beaucoup de mal à définir ce qu’elle a pu ressentir.
Le souci comme elle me dit, c’est que cela n’a rien à voir avec un orgasme clitoridien. Et vu que l’orgasme vaginal, elle n’y avait finalement jamais goûté, elle a donc beaucoup de mal à définir et à mettre des mots sur cet orgasme de façon très précise. C’est un peu comme ceux qui voient un OVNI dans le ciel pour la première fois et qui ont du mal à choisir le vocabulaire adéquat pour définir un événement exceptionnel. Il faut donc le vivre pour le comprendre !
Elle m’a dit, et elle n’a pas tort, qu’au lieu de vous dire qu’elle a pris son pied comme jamais et qu’elle gémissait à en péter les tympans de son homme, elle a préféré être très imagée pour qu’on puisse comprendre le côté exceptionnel de son orgasme. Après sa rencontre UFO, elle était donc sous le choc et elle a donc eu du mal à s’en remettre car comme pour une rencontre alien, cela ouvre alors le champ des possibles.
Elle n’est en effet plus toute seule dans l’Univers. Et oui, elle a fait la connaissance d’un être fabuleux et qui ne vient pas de 10000 années lumières, à savoir son point G. 😉
Sa première fois avec son amoureux
Avec son mec, ce fut encore plus fort, une rencontre rapprochée du 7ème type (RR7), le témoin ayant un rapport sexuel avec les occupants de l’ovni. Et oui, rien que ça ! Pour elle, c’est un autre type d’orgasme car c’est son amoureux qui le lui donne. Cela dépasse donc l’entendement car on ne contrôle pas cette jouissance (même si elle pousse avec ses muscles PC). On la vit tout simplement, sans aucune perturbation extérieure et ça c’est beau !
On se laisse faire, on se laisse aller et ça c’est juste trop bon. Elle a d’ailleurs été surprise de faire une plus grosse éjaculation féminine avec lui, deux fois plus importante selon elle. Le fait de partager ce moment, cet orgasme et de transmettre ce qu’elle a pu apprendre seule, cela donne une saveur particulière à cette jouissance.
C’est un peu comme se masturber et faire l’amour, deux choses totalement différentes. Faire l’amour avec sa ou son partenaire, c’est le summum du plaisir. Éjaculer en couple, c’est pareil. C’est bien pour cette raison que Ludivine a pu sentir que ce fut encore meilleur lorsque son homme a pris les rênes. L’éjaculation féminine, c’est génial seule mais c’est démentiel à deux !
Pour résumer tout ça, outre l’image un peu décalée donnée par Ludivine à cet orgasme, elle veut avant tout vous faire passer le message que c’est un orgasme vraiment inédit avec des sensations qu’elle n’avait jamais pu toucher du bout des doigts jusqu’ici.
Elle a d’ailleurs fini son mail en me disant que lorsqu’on commence à s’informer sur l’éjaculation féminine et qu’on bosse le sujet, on se sent un peu l’âme d’un Indiana Jones qui part à la recherche de l’Arche d’alliance, un mythe, et que forcément quand on tombe nez à nez avec ce mythe, c’est un coup à en tomber de sa chaise ! J’aime cette façon de penser ! 😉
Alors qui veut avoir un orgasme à la X-Files ? Attention quand même à ce que des Men in black ne viennent pas sonner à votre porte…
Amicalement,
Nicolas