L’éjaculation féminine face à la science !

Pour beaucoup d’hommes et de femmes, l’éjaculation féminine est réservée à une minorité. Pour pas mal de gens, c’est même tout simplement bidon. Or, mon expérience est claire sur ce point : si vous savez, vous allez alors pouvoir lâcher prise beaucoup plus facilement. C’est même une des clés pour éjaculer.

Dès lors, comprendre ce que sont réellement les femmes fontaines et d’où vient ce liquide, cela va ensuite vous permettre (et vous donner envie) de bosser le sujet tout simplement parce-que vous saurez que c’est bien réel donc que vous aussi vous pouvez y arriver.

Dès lors, que devez-vous absolument savoir ? Tout simplement qu’éjaculer en grande quantité, c’est possible et que ce n’est surtout pas un mythe. Pourquoi je suis si affirmatif ? Et bien il suffit de se baser sur du concret à savoir des études scientifiques pour d’une, en être convaincu(e) et de deux, pour que ce phénomène attise votre curiosité. Et oui, si cela intéresse le milieu médical, c’est que c’est loin d’être une pratique sexuelle réservée aux films pornographiques.

Mon but ici, c’est donc de créer un déclic (en fait trois) en vous !

1 – Deux études médicales se sont penchées sur la provenance de l’éjaculation féminine

Quand on stimule le point G, on se prend pas mal d’émotions inconnues en pleine tête. Et oui, ce n’est pas étonnant car le point de Gräfenberg, qui le connait réellement ? Peu de personnes malheureusement ! Toutes les femmes en ont un mais par la méconnaissance de son existence, il hiberne depuis des années voir depuis toujours. Et pourtant, il a temps à vous offrir ! Dès lors, tous les deux (et tous les 3 messieurs), il est grand temps de redevenir les meilleurs amis du monde !

A côté de ça, cet orgasme fontaine est aussi accompagné par des sensations inédites qui ne laissent pas de marbre. Je pense notamment à cette fausse envie de faire pipi qui est souvent un frein pour aller plus loin et éjaculer justement.

Dès lors, il faut comprendre ce qu’est réellement le squirt pour le laisser se libérer sans crainte ! On y reviendra en détails dans un module dédié de ma méthode mais en vous faisant ouvrir les yeux dès à présent, vous allez ouvrir les vannes mesdames et mesdemoiselles.

C’est aussi votre boulot messieurs d’expliquer à votre partenaire qu’éjaculer, c’est incroyable et que c’est tout sauf du fake. Et pour ce faire, il faut être précis dans vos explications. Dès lors, je vais creuser le sujet en me basant sur 2 études médicales bien concrètes. Pour me prendre au sérieux, il n’y a rien de mieux !

Une étude française des docteurs Salama et Desvaux

Le modus operandi de ces docteurs

Pour vous convaincre qu’éjaculer, c’est bien réel, j’avais envie de vous parler d’une étude réalisée par les docteurs Desvaux et Salama. Avant de m’y pencher, il faut bien comprendre que comme pour les hommes, éjaculer et uriner en même temps, c’est physiologiquement impossible. Déjà, cela devrait vous déstresser.Les études sur les éjaculations féminines

Cependant, une fois qu’on a dit ça, on n’a pas le fin mot de l’histoire. Et oui, est-ce qu’on peut éjaculer en toute tranquillité sans penser qu’on est en train de faire pipi sur le lit, sur soi ou sur son homme et surtout en n’ayant plus peur d’éjecter un liquide bizarre qui viendrait de je ne sais où et qui ferait de vous mesdames des femmes pas dans la (bonne) norme ?

Pour répondre à ces questions, venons-en à cette étude scientifique. Ces français ont voulu démontrer, preuve à l’appui, une origine possible de cet éjaculat afin de balayer ou non l’idée que ce liquide serait hypothétiquement de l’urine.

Pour ce faire, cette équipe a procédé à une étude à la fois échographique et biochimique sur un petit groupe de femmes ayant l’habitude d’éjaculer dans leur vie sexuelle.

On a demandé aux femmes participant à l’étude de bien vider leur vessie avant de se stimuler sexuellement, vessie confirmée vide par une première échographie. Après 25 à 60 minutes d’excitation sexuelle, une seconde échographie a alors montré que leur vessie était à nouveau pleine. On a donc assisté à un remplissage de cette vessie (pendant la masturbation avec les doigts ou un sextoy) puis on a démontré que la vessie était à nouveau vide après l’éjaculation.

Les résultats

La vessie s’est bien remplie lors de la phase d’excitation. Un liquide a donc rempli cette vessie, liquide expulsé lors de la fontaine. De plus, l’analyse de l’éjaculat a pu montrer que chez certaines femmes il contenait de l’urée, de la créatinine, de l’acide urique et du PSA (ce fameux marqueur de la prostate qu’on retrouve chez les hommes).

La conclusion sur la provenance de cet éjaculat

On peut en déduire 3 scenarii possibles, à savoir :

  • que certaines femmes fontaines ont une prostate féminine (éponge para-urétrale formée par les glandes de Skene (illustration ci-dessous)) qui produit plus d’éjaculat que d’autres. On pourrait alors faire la comparaison avec certains hommes qui produisent plus de sperme que d’autres lorsqu’ils éjaculent !

Les glandes de Skene, c'est quoi ?

  • que les glandes de Skene sont incapables de produire autant d’éjaculat et que l’éjaculat provient finalement de la vessie, un liquide libéré pendant l’éjaculation.
  • que chez certaines femmes, les reins continuant à produire de l’urine, cette dernière étant stockée dans la vessie lors de la stimulation sexuelle, c’est cette urine incolore et inodore (car encore très récente) qui serait expulsée lors de l’orgasme.

Non pas un mais plusieurs types de femmes fontaines

Au final, il existerait 3 types de femmes fontaines à savoir :

  • une femme fontaine qui éjacule de sa prostate comme on a pu voir, une éjaculation prostatique (petite ou grosse même si la science doute (pour le moment) que la prostate puisse produire autant d’éjaculat), un éjaculat libéré par les orifices des glandes de Skene (en plus petite quantité) et par l’urètre (en plus grosse quantité) (illustration ci-dessus). D’ailleurs, une étude de 2011 du docteur Rubio-Casillas (« New insights from one case of female ejaculation », publiée dans le « Journal of Sexual Medicine ») fait le distinguo entre (la vraie) éjaculation féminine (de la prostate) et le squirting, l’éjaculation abondante venant de la vessie.
  • une femme fontaine qui éjacule de la vessie, donc une éjaculation de la vessie, le squirt.
  • certaines femmes qui font les 2 en même temps, une sorte de super éjaculation féminine !

Une étude d’un chercheur, Gary Schubach

Pour aller encore plus loin, je vais citer une étude en date de 1996 du chercheur Gary Schubach (« Urethral expulsions during sensual arousal and bladder catheterization in seven human females »). Elle est très intéressante car ce chercheur a voulu comprendre ce qui se passait réellement lorsqu’une femme fontaine éjaculait de façon très abondante.

Dès lors, pour en avoir le cœur net, chez les participantes à son étude, un cathéter a été inséré par l’urètre jusqu’à la vessie. Au moment d’éjaculer, que s’est-il passé ? Deux cas de figure :

  • la plus grosse partie du liquide est sortie du cathéter donc un liquide qui provenait directement de la vessie.
  • une plus faible quantité de liquide est sortie directement de l’urètre donc un liquide provenant de la production des glandes para-urétrales ou glandes de Skene.

Cela rejoint donc l’étude précédente : il existe plusieurs types d’éjaculations féminines !

2 – Ma conclusion : l’éjaculat féminin, c’est du bonheur avant tout

Ce qu’il faut retenir : l’éjaculat, c’est tout sauf de l’urine !

C’est vraiment important, ôtez-vous de la tête cette idée stupide que c’est de l’urine. Pour preuve, les participantes à l’étude des docteurs Salama et Delvaux avaient bien vidé leur vessie avant d’éjaculer ! Or il est vrai que la vessie pourrait très bien se remplir à nouveau durant ce laps de temps de masturbation…

Ok mais moi je peux vous assurer que je conseille toujours à mes petites amies (pas encore fontaines) d’uriner avant qu’on fasse l’amour (pour qu’elles se tranquillisent et qu’elles se laissent aller). Et bien, je n’ai pas besoin de 25 minutes (ni 60 minutes) de stimulation pour qu’elles éjaculent. Quand j’obtiens de très grosses éjaculations, je ne peux donc pas faire un lien entre éjaculat et urine. Et ce que je vous raconte là, c’est du concret. Le milieu médical aurait donc tort de faire une conclusion beaucoup trop hâtive sur cette question.

La science ne sait pas encore tout au sujet de cet éjaculat. Moi je suis pragmatique et la pratique, il n’y a que ça de vrai. Je suis comme Saint-Thomas, je ne crois que ce que je vois. 🙂

Dès lors, avec toutes ces études, que peut-on retenir ?

On peut en déduire que les grosses éjaculations féminines proviendraient plutôt de la vessie

La plus grosse partie du liquide formant le squirt serait un liquide engendré par l’excitation sexuelle et expulsé via l’urètre. Vous noterez que ces études ne disent rien de façon précise sur la provenance de ce liquide remplissant la vessie. On reste sur des supputations comme une augmentation du rythme cardiaque qui engendrerait une circulation et une filtration plus rapide du sang.

En tout cas, elles amènent toutes à une seule conclusion : c’est tout sauf de l’urine (même si ce liquide vient de la vessie). Une étude intitulée « Female Ejaculation orgasm vs coital incontinence : a systematic review » publiée en 2013 dans le « Journal of sexual medicine » rappelle d’ailleurs que l’éjaculation féminine, c’est tout sauf un problème d’incontinence urinaire !

Une autre étude de 2007 montée par Rufus Cartwright et publiée dans le « Journal of Sexual medicine » (2007 Nov;4(6):1655-8. Epub 2007 Jul 18.) avait déjà mis le doigt sur le fait que les femmes fontaines n’avaient aucun souci pathologique.

Stop à cette idée reçue que les femmes fontaines urinent !

Je vous le rappelle, quand on se penche sur la composition de cet éjaculat, on voit bien que c’est un liquide qui a une composition quasi identique au sperme masculin, les spermatozoïdes en moins. Cela doit être votre premier déclic !

Les différents composants du squirt

Le bilan ?

Faut-il faire une mine dégoutée et déconfite car une partie de ce liquide proviendrait de la vessie ? Non car peu importe d’où il vient, c’est un liquide dont la production est concomitante à la masturbation donc au plaisir et ça, c’est juste essentiel. Cela doit être votre deuxième déclic.

Ce que je veux vous faire comprendre ici, c’est qu’il faut avant tout faire la part belle à ce plaisir (qu’on prend en solo ou qu’on partage à deux). L’Homme a toujours besoin de donner des explications à tout et sur tout. Être cartésien, c’est bien mais on en oublie alors l’intérêt de l’éjaculation féminine à savoir un super orgasme !

Dès lors…

Ma conclusion finale : l’éjaculat, c’est du jus de plaisir, point barre !

Le plus important : vos ressentis et ce que cela vous apporte !

J’aurais pu en fait résumer cet article en une seule phrase mais vous vous serriez dit que j’abusais un peu. lol  Comment ça ? En fait, que ce soit la composition ou la provenance de cette éjaculation féminine, on s’en fiche royalement. Ceci doit être votre troisième déclic et c’est le plus important. J’y reviendrai dans ma méthode mais il faut bien comprendre que c’est le plaisir avant tout qui prévaut ici. Le reste, on s’en fout complètement !

Et oui, on peut en effet parfaitement faire dire tout et son contraire à ces études comme par exemple que c’est bien de l’urine toute fraiche produite par les reins (avec des marqueurs PSA) qui est expulsée. Et alors j’ai envie de vous dire ? Je peux vous assurer qu’aucune de mes ex ne s’est posée ce genre de question. Pourquoi ? En fait, c’est tellement bon qu’une fois qu’elles ont eu un orgasme fontaine, la seule question qu’elles se posent, c’est comment reproduire cet orgasme incroyable encore et encore, point à la ligne !

Fuck les on-dit sur ce sujet !

Je pense que tout ce questionnement est juste là pour satisfaire les partisans de la thèse « les femmes fontaines ne sont pas la norme » et ce en voulant à tout prix démontrer que c’est de l’urine. L’éjaculation féminine est tellement tabou qu’on veut absolument discréditer ce sujet. Je trouve ça fou !

Les squirting, c'est un concentré de bonheur

Vous savez, les gens qui sont dans l’échec, ce sont bien les derniers qu’il faut suivre. Ils veulent alors prendre le rôle de gourou et faire en sorte que les gens se détournent du plaisir qu’engendre le gushing ou squirting. C’est le même état d’esprit qu’aura la personne en plein échec sentimental ou professionnel. A part vous décourager, il ne fera rien d’autre.

Dès lors, effectivement, les femmes fontaines ne sont pas dans la norme, je suis bien d’accord. En fait, elles sont « au-dessus » du lot. Elles sont tout simplement exceptionnelles ! 😉

Ne retenir que du négatif ne vous fera pas embrasser pleinement l’éjaculation féminine. Vous poser les mauvaises questions ne vous aidera pas non plus. Il faut bien comprendre que ce n’est que du bonheur même s’il y a encore un peu de mystère autour. Moi en tout cas, je peux vous dire que je n’ai jamais eu un penchant urologique donc non, ce n’est pas de l’urine.

De tout façon, depuis que je fais éjaculer, ma sexualité s’en est trouvée grandie et boostée ! Alors, vous préférez être dans le camp des « normaux/normales » qui s’ennuient au lit ou des « anormaux/anormales » qui prennent leur pied ? 🙂

La base de la base : l’éjaculation vous transforme en profondeur

Dès lors, n’oubliez pas que tout ce questionnement ne sert à rien. Il vaut mieux vous concentrer sur ce que vous apporte les femmes fontaines, comment cela marche, quelles sont les bonnes techniques etc., plutôt que de faire une fixette sur des détails très futiles. Et oui, il ne faut pas oublier le principal à savoir que c’est un orgasme de malade, que le plaisir est décuplé, que les réactions en chaine sont folles mais ce n’est pas tout.

Et oui, vous allez redécouvrir votre corps mesdames et le corps de votre partenaire messieurs en partant à la découverte du point G, du point U, des muscles PC… Vous allez donc devenir la meilleure version de vous-même, un « vous 2.0 ».

Ce n’est donc pas juste une histoire de sciences mais bien une histoire de plaisir, la base de la base ! Ne pas éjaculer, c’est donc se priver de tous les fabuleux mécanismes orgasmiques que mettent en marche l’éjaculation féminine. Ne l’oubliez jamais !

3 – Pour les curieux et les curieuses…

Vous convaincre que l’éjaculation féminine, c’est tout simplement génial, c’est aussi mon but. Être factuel, c’est donc super important. Vous le verrez, je le serai, notamment dans le module 5 de mon guide sexuel, un module où je vous détaille tout sur les femmes fontaines. Je vous parlerai de la question de sa composition, de sa provenance mais j’irai beaucoup plus loin que dans cet article en me basant sur mon expérience et en vous donnant mon raisonnement sur la question, un raisonnement qui va vous convaincre, j’en suis persuadé !

Cela vous convaincra car vous allez suivre mes conseils pour apprivoiser cette éjaculat, c’est ça qui prévaut sur tout le reste. Pas besoin de passer au laboratoire pour analyser votre éjaculat, ma façon de voir les choses vaut toutes les analyses du monde, vous verrez. C’est aussi pour cette raison que je ne traite pas tous ces sujets en quatrième vitesse dans ma méthode. Je veux que vous compreniez comment je vois les choses et pourquoi je les vois comme ça.

Loto le squirt, à qui le tour ? 😉

Amicalement,

Nicolas

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