Mes conseils pour améliorer la position du missionnaire afin de viser le point G

Une position du Kamasutra qu’on pense bien connaître…

« Le missionnaire ? Trop facile ! » C’est ça que vous vous dites j’imagine et ce n’est pas étonnant. En effet, c’est vrai, le missionnaire c’est la position par laquelle on commence le plus souvent car elle est simple et naturelle d’autant plus que vous n’aurez pas besoin d’avoir des aptitudes d’acrobate pour pouvoir pénétrer votre femme dans cette position du Kamasutra. Si cela parait aisé au premier abord, il y a selon moi « missionnaire et missionnaire » dans le sens où gigoter entre les cuisses ouvertes de votre copine sans un peu de réflexion, c’est la meilleure façon de vous planter ou tout du moins de ne pas vous servir de cette position à votre avantage pour qu’elle puisse ressentir un maximum de plaisir !

C’est dommage car le missionnaire est une position avec pas mal d’avantages, des avantages qu’on oublie bien trop souvent. Il est donc bon de les rappeler pour que lors de votre prochaine relation sexuelle, vous puissiez mettre en pratique mes conseils en vous disant « tiens d’habitude je n’y pensais pas mais c’est vrai que je peux faire ci ou ça quand je suis entre les jambes de ma nana ».

Dès lors :

  • il n’y a rien de plus intime car on est à nu dans le sens où les deux partenaires sont face à face donc on ne peut pas cacher ses émotions et encore moins tricher. Le regard, les expressions du visage… bref, on se donne entièrement à l’autre les yeux dans les yeux. Ce n’est donc pas une position si anodine que ça selon moi.
  • on a très facilement accès à des zones érogènes de notre partenaire pendant la pénétration : on peut en effet caresser le clitoris, on peut s’occuper de ses seins, on peut passer ses mains sur ses cuisses (l’extérieur, l’intérieur)…
  • on peut embrasser et ce n’est pas si évident dans beaucoup d’autres positions donc il faut en profiter car le baiser, cela fait passer un grand nombre d’émotions
  • il est facile de faire varier la force et la profondeur de pénétration avec ce type de position

Mes astuces pour faire un bon missionnaire

Il y a le missionnaire classique et mon missionnaire

Ce que je vais vous révéler va vous permettre de comprendre pourquoi vous faites un mauvais missionnaire ou un missionnaire très moyen.

Je vais vous parler ici de ce que j’appelle mon missionnaire 2.0. On aura d’ailleurs le temps dans ma méthode de voir plusieurs variantes de ce 2.0 car oui, il en existe plusieurs !

De quoi s’agit-il ? Il y a en effet un petit truc à savoir lorsque vous allez pénétrer votre femme avec votre pénis en missionnaire afin justement de lui donner du plaisir en atteignant son point G. Avant de rentrer dans le vif du sujet, je vous rappelle le principe du missionnaire, c’est-à-dire elle sur le dos, les jambes écartées, vous ayant alors la possibilité de la pénétrer en vous allongeant sur elle.

La position classique qu’on connait tous et toutes est la suivante :

Le missionnaire classique en image

Mon missionnaire 2.0 pour stimuler le point G

Dès lors, il faut savoir qu’avant de vous glisser entre ses cuisses, et ce pour avoir le bon angle de pénétration afin de venir coller votre gland pile poil sur son point G, vous allez mettre un coussin sous ses fesses afin de surélever légèrement son bassin. (photo ci-dessous) Le point G se retrouve alors dans l’axe de pénétration de votre pénis.

Le missionnaire 2.0, position du Kamasutra

Le but est de permettre à la partie antérieure du vagin de basculer afin que la partie où se situe le point G (image ci-dessous) se retrouve face au pénis dans le bon angle de pénétration :

Le point G dans le vagin (illustration)

… ce qui n’est pas le cas si votre femme est sur le dos complètement à plat lors d’un missionnaire plus que classique (bassin non basculé) (photo ci-dessous sur modèle en latex sans coussin) :

La pénétration du pénis durant le missionnaire

Vous voyez que dans cette position du missionnaire, le gland ne vient pas facilement se coller contre le point G. La stimulation du point G n’est pas assez poussée, elle n’est pas optimale. La photo ci-dessous est une transposition illustrée de la photo ci-dessus :

Le missionnaire et le point G

Vous comprenez maintenant pourquoi comme sur l’illustration ci-dessous on doit courber les doigts pour atteindre le point G :

On courbe les doigts pour viser le point G

Quand on bascule le vagin (avec un coussin par exemple), le souci est réglé (photo ci-dessous), le gland pouvant atteindre et stimuler ce fameux point G de façon optimale. C’est intéressant surtout si votre pénis ne fait pas un gros arc-de-cercle.

Femme sur le dos en missionnaire (bassin basculé) (photo ci-dessous sur modèle en latex avec coussin) :

Un coussin sous les fesses en missionnaire (plus de plaisir)

Ci-dessous voici une transposition illustrée de la photo ci-dessus :

On bascule le bassin pour viser le point G

Messieurs, vous avez les mains libres donc profitez-en pour stimuler le clitoris. Mesdames vous n’êtes pas en reste d’ailleurs car ce n’est pas à ces messieurs de tout faire. Et oui, vous aussi vous avez les mains libres donc occupez-vous de votre partenaire mais aussi de vous et de vos zones érogènes.

Mesdames, n’hésitez pas à agripper les fesses de votre partenaire justement pour lui demander de vous pénétrer de plus en plus fort ou au contraire plus lentement. Le fait de l’agripper, c’est un petit jeu où c’est vous qui contrôlez la pénétration et la stimulation de votre point G.

P.S. : Dans le module 4, je vous parlerai même du missionnaire 3.0, 4.0 etc.

Travaillez mes techniques pour donner des orgasmes

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